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Peggy (36ans) : deuil

 

Je tiens à témoigner quant à l’aide que m’a apportée Valérie pour faire le deuil de ma maman.

Pour que vous puissiez mieux comprendre la situation, je vais en quelques mots vous raconter comment cela s’est passé.

Ma maman est décédée en août 1998 de façon soudaine, je n’ai pas eu le temps de me préparer à son départ. Nous étions très proches, c’était plus que ma maman, elle était devenue ma confidente, mon amie.

Plusieurs années après, la vie m’a amenée à rencontrer Valérie, et nous sommes venues à parler de ma maman et de son décès. Là comme toujours lorsque j’en parlais, je me suis effondrée en pleurs.

Alors Valérie m’a dit : « Tu n’as pas fait le deuil de ta maman ! », ce à quoi j’ai eu du mal à croire car cela faisait onze ans que ma mère était partie et pour moi mon deuil était fait depuis longtemps. C’est alors qu’elle me dit : « Quand tu parles de ta maman, tu changes de voix. Ce n’est plus la femme qui parle, mais la petite fille. ».

Elle m’a alors proposée de m’aider à faire mon deuil. Cela m’a pris quelques temps avant de franchir le pas, mais un jour je l’ai appelé.

Nous nous sommes alors rencontrées chez elle. Valérie m’a reçue dans son bureau et nous avons alors commencé à parler de maman, comment s’était passée mon enfance avec elle, avec ses hauts et ses bas comme dans toutes relations mère-fille, et chronologiquement nous en sommes arrivées à parler du moment de son décès, moment très difficile pour moi.

Puis, à un moment que Valérie a choisi, elle a allumé une bougie et elle m’a demandé de fermer les yeux et de me mettre dans un certain contexte. Ce moment-là pour moi est assez difficile à décrire, tout ce que je peux dire c’est que je n’entendais que la voix de Valérie qui me guidait, je vivais le moment présent.

Cela a duré un temps que je ne saurais quantifier, j’étais dans ma bulle avec ma maman. Au bout d’un moment, Valérie m’a demandé de rouvrir les yeux, quand je me sentirais prête. Pour tout dire, j’ai eu du mal à rouvrir les yeux.

J’étais tellement bien ! Quand enfin j’ai ouvert les yeux, j’ai de nouveau pris conscience du monde extérieur. A cet instant, je me sentais à la fois étrange et sereine. Valérie m’a alors dit que le travail que nous avions fait ensemble allait continuer à faire son petit bonhomme de chemin. En rentrant chez moi, je me suis demandé comment cela pouvait se faire. Mais je me suis dis : « Laisse faire le temps et tu verras bien ! ». Et, effectivement, je ne saurais vous dire ni comment ni pourquoi, mais depuis j’accepte le départ de ma maman et quand je parle d’elle je n’ai plus envie de pleurer.

J’espère que mon témoignage pourra aider et faire prendre conscience à certaines personnes que le deuil est un chemin de longue haleine, qui nécessite parfois l’aide de quelqu’un et qu’il n’y a rien de honteux à se faire aider. La mort d’un être cher est toujours difficile à accepter, nous avons tous des réactions différentes, mais l’aide que m’a apportée Valérie m’a permis de prendre beaucoup de recul et d’accepter enfin le départ de ma maman.

 

Laurent (36ans) : dépression séances par téléphone

 

"Je m'appelle Laurent, bientôt 40 ans, et je réside sur la côte Normande.

Je voudrais ici vous livrer mon témoignage relatif à mon expérience de coaching avec Valérie Marcastel.

 
  En 2012, plus rien n'allait vraiment dans ma vie. Je travaillais alors comme maître d'hôtel sur la côte, ma vie se résumant uniquement à un travail dont j'avais fait plus que le tour. Ma vie personnelle ressemblait à un désert affectif -c'est du moins l'idée que je m'en faisais. A cela s'ajoutait une enfance et un passé familial plus que douloureux. Bref, à l'aube de mes 36 ans, cynique et désabusé, ne me voyant pas capable d'accomplir de belles choses, je ne me voyais plus d'avenir.... Malgré le fait que je donnais le change auprès de mon entourage, il n'empêche qu'au mois de juin 2012, je me retrouvais à rentrer chez moi le soir après le travail, à m'effondrer en larmes sur mon canapé et à me demander ce qui pouvait bien encore me retenir de commettre l'irréparable. Plus qu'un burn-out, je ne voyais plus d'issue favorable à ma pauvre existence.

 
  Puis, sur les conseils d'une amie, j'ai entrepris de tenter quelque chose pour changer cela.De toutes façons,au point où j'en étais...entre la mort et un "sauvetage"...

Alors j'ai donc pris contact avec Valérie Marcastel. Avec des à-priori, je dois l'avouer. En effet, je me demandais bien ce que je pourrais attendre et confier de plus à une totale inconnue qu'au meilleur de mes amis. Valérie m'a tout de suite mis à l'aise, par un ton amical, sans complaisance et en m'expliquant la démarche. Ainsi, tout d'abord, il m'a fallu revenir sur les raisons de mon mal-être, ce qui oblige à creuser et parler librement de ce qui nous hante au plus profond de nous-mêmes. Puis, à l'aide de petits "devoirs à la maison", tout de suite, on se prend au jeu de vouloir se sentir mieux. Se libérer...enfin. Grâce à Valérie et ses qualités d'écoute, j'ai commencé à comprendre que notre pire ennemi, c'est avant tout ...nous -mêmes. J'ai pu réaliser à quel point l'auto-victimisation peut littéralement nous "bouffer notre énergie". Grâce au travail que nous avons accompli ensemble, j'ai rapidement retrouver la capacité de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Grâce à elle, j'ai aussi réussi à cibler mes attentes, à me dessiner un avenir et surtout, surtout, trouver la CONFIANCE EN SOI nécessaire pour CHANGER SA VIE. Une fois l'essentiel du travail nécessaire accompli, nos séances se sont espacées mais Valérie a toujours assuré "l'après-vente", en prenant de mes nouvelles!

  Alors, le résultat aujourd'hui? Eh bien, ça va plutôt bien! J'ai quitté mon job et je suis aujourd'hui guide touristique bilingue heureux sur les plages du Débarquement de Normandie, chose dont je me serais bien senti incapable de faire sans tout ce travail. Je m'éclate, tout simplement! D'un point de vue plus personnel, ma vie a vraiment changé...en bien! J'ai retrouvé ma "self-esteem", j'ai même rencontré une jolie demoiselle, c'est tout dire! Je me respecte, je suis même devenu sportif, qui l'eut crû? Je me suis débarrassé au maximum de ce qui ne m'apporte rien d'agréable dans ma vie et j'ai appris à avoir de la gratitude pour tout ce qui m'arrive de bon. C'est un challenge quotidien tellement plus enrichissant et constructif que de se morfondre et de se plaindre.

Bien entendu, tout n'est pas rose et rien ne le sera jamais complétement mais j'ai retrouvé cette capacité à relativiser et rebondir, en ayant découvert une chose qui m'était inconnue jusque-là : le lâcher-prise. J'ai appris à ne plus me laisser submerger par mes émotions, je m'applique à tout vivre en pleine conscience. Lorsqu'un problème survient, grâce à ce travail que j'ai accompli avec l'aide précieuse et salvatrice de Valérie, je sais que j'ai un maximum d'outils et de ressources pour le surmonter. Parfois, je me demande seulement... pourquoi j'ai attendu si longtemps pour faire cette démarche.
 

  Voilà donc mon témoignage. A celles et ceux qui hésitent encore à franchir le pas,je dirais juste qu'une fois que le processus est enclenché, on prend très vite un réel plaisir à se sentir vivant, heureux et confiant en la Vie.Bref, merci, mille fois merci. Et merci Valérie!!!

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